"Nice Thing" nous captive aux premiers riddims : mélopée envoûtante, rythme plus urbain comme disloqué. La voix est proche du beat box et égrène sur une mélodie sombre un doux chant d’amour : love is a nice thing – tout est dit. Biga ose le chant, entre le gospel et dub, c’est simple, profond – les basses nous enveloppent sur une électro épurée, la voix se confond avec l’instrumentale. Du grand Biga*Ranx, celui même qui nous emmène rencontrer son univers mêlé de tristesse et d’infinie douceur.
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